| Nowaki | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Nomaki est une jeune fille devenue mage il y a peu de temps, et qui cherche une guilde à intégrer.
Apparence[]
Maigre, pâle et petite, Nowaki garde encore des traces de sa maladie. Relativement faible et frivole, cela se fait ressentir par sa peau d'une extrême fragilité, qui saigne facilement. Ses yeux sont grand ouverts, d'un vert dégradant du foncé aux clairs, se mariant parfaitement au brun de ses cheveux. Nowaki apporte un soin particulier à ceux-ci, pour qu'ils forment les boucles souples lui arrivant au cou qui lui sont si familières. Elle s'amuse souvent à en tresser une mèche d'un côté, et la nouera d'un ruban rouge qui contraste avec la couleur de ses cheveux.
Nowaki fait attention à son apparence, bien qu'elle ne se montre pas capricieuse et peut très bien se contenter de ce qu'elle a. Elle aime porter des chemises à manche courtes blanches, accompagnés de jean, foncé ou clair selon ses envies, mais toujours slim. Elle porte particulièrement du bleu, du rouge et du blanc, trouvant que ces trois couleurs lui donnent un air relativement enfantin.
Personnalité[]
Malgré le fait que sa santé soit fragile et sure à préserver, Nowaki aime s'affirmer comme une fille forte qui peut se débrouiller toute seule. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, et répondra si on l'embête. Cependant, la nature gentille de la jeune fille l'empêchera de se montrer cruelle, et elle remettra souvent en question son côté affirmé, se demandant si elle fait bien de faire ça.
Elle est quelqu'un de raisonnable, mais qui ne fait rien dans la demi-mesure. Si elle a commencé quelque chose, elle le fera. Bien que la maudissant, elle ne se plaindra jamais de sa condition, et ne demandera pas trop aux personnes qui l'entourent. Elle ne pleure jamais devant les autres, ne supportant pas les voir souffrir pour elle. En effet, Nowaki est altruiste à l'extrême, allant même jusqu'à dire à ses médecins qu'ils devraient prendre du repos.
Histoire[]
Depuis sa naissance, Nowaki a toujours eu une santé fragile. Trop fragile. Pendant ses dix premières années de vie, sept ont été passée à l’hôpital, dans un lit et une salle surchauffée, accompagnée de perfusions sur les mains. Les deux seules années où elle fut de 'sortie' furent celles de ses trois et quatre ans. C'était peu, seulement deux ans, mais pendant ces deux ans elle vécu une joie immense, un surplus d'émotions qu'elle n'aurait jamais pu connaître dans ces salles désinfectées. Elle avait couru, s'était roulée dans l'herbe, et avait même mangé dehors avec ses parents. Ces petits plaisirs qu'elle n'aurait pas pu connaître. Ses parents étaient comblés de joie de voir leur fille s'épanouir autant, mais ils savaient que ce bonheur serait trop éphémère. En effet, Nowaki était de retour à l’hôpital l'année de ses cinq ans. Elle ne les supportait plus, ces infirmiers au masque sur son visage, et elle se montra insupportable avec eux, refusant de rester dans son lit, ne voulant que sortir une nouvelle fois.
Puis arriva ce garçon. Son nom était Shino, et il vint se faire hospitaliser lui aussi, mais pour un cas plus grave que celui de Nowaki. Ils partageaient la même chambre, et ils avaient eu l'occasion de parler de nombreuses fois. Si Nowaki ne se calmait toujours pas, elle aimait la compagnie de ce jeune homme de son âge à ses côtés. Puis dans une conversation, elle demanda pourquoi le jeune homme était ici. Shino se crispa, baissa les yeux mais fini par répondre. Et sa réponse fit l'effet d'une douche froide à la jeune fille.
Shino était atteint d'une rare maladie cardio-vasculaire. Chaque jour, son cœur faiblissait, et chaque jour, ses chances de s'en sortir faiblissaient de plus en plus. Choquée, la jeune fille resta pétrifié quelques secondes avant de sentir ses yeux se mouiller et ses larmes monter. Elle avait pendant tout ce temps fait d'horribles caprices devant les yeux et le sourire mélancolique de Shino, alors que lui n'avait même plus d'espoir. Elle avait crié, été insupportable, et s'était plainte de sa condition des milliers de fois, sans se douter que le jeune homme risquait de mourir à tout instant. Sa honte, sa colère et sa tristesse se matérialisaient en ces gouttes d'eau qui tombaient sans arrêt le long de ses joues. La vie était injuste. Et la mort aussi. Shino, lui, s'était contenté de montrer ce même sourire empreint de mélancolie. Il s'était levé, s'était assis aux côtés de Nowaki, et avait tenté de la consoler, lui disant qu'elle ne devait pas pleurer pour lui, et qu'il s'était déjà fait à l'idée de mourir. Mais la jeune malade ne l'entendait pas comme ça.
"Tu ne peux pas mourir Shino. Il reste encore de l'espoir non ? Il suffit que tu tienne jusqu'à ce que les médecins trouvent une solution et... Et tu sera sauvé. Je ne veux pas que tu meures."
Ces paroles étaient niaises, sorties de la bouche d'une petite fille malade et jeune, mais lorsqu'on risque de mourir à tout moment et que même notre familles et nos amis ont perdu tout espoir, ces quelques mots peuvent suffire à rendre un sourire. C'est comme ça que Nowaki a redonné espoir aux proches, et à Shino lui même. Il vivrait. C'est tout. C'est ce qu'elle voulait.
Environ un mois plus tard, les médecins sont entrés dans la salle à une heure non habituelle. Ils semblaient sourire derrière leur masque, et en effet, ils apportèrent des nouvelles qui redonnèrent espoir à tout le monde. Ils avaient trouvé comment soigner le jeune homme. Sa maladie n'était pas incurable. Et son rétablissement complet était prévu pour dans une semaine. Nowaki avait littéralement sauté de joie. A l'aide de ses parents qui avaient eux aussi compatis et aux proches du jeune homme, elle organisa une fête pour le futur rétablissement du jeune homme. Certes, ils la feront dans l'hôpital, ils ne pourront pas faire de bruit, manger comme ils le veulent ou ce genre de choses que l'ont fait d'habitude, mais les sourires sincères et chaleureux suffirent pour faire pleurer de joie Shino.
Mais malheureusement, la vie ne ressemble jamais à un scénario de film.
Ce fut deux jours après la fête. Rien pour prévenir. Shino n'était pas plus mal en point que d'habitude, n'avait pas fait d'effort particuliers. Mais son cœur avait tout simplement lâche. C'était une nuit, comme tant d'autres passées dans ces salles puant le désinfectant. Nowaki lui avait souhaité bonne nuit, et tous les deux s'étaient endormi. Mais lui ne s'était pas réveillé. Lorsque la jeune fille se réveilla le matin, elle fut d'abord surprise de voir qu'il n'était debout assis comme son lit à la regarder se réveiller comme à chaque fois. Si elle s'était dit qu'il devait être fatigué, elle fut moins rassurée en voyant les médecins ouvrir la porte en catastrophe. Deux minutes. Deux minutes avaient suffit. L'un des docteurs avait posé son oreille sur le torse du jeune homme, et avait secoué la tête à ses collègues. Un autre avait commencé à lui faire un massage cardiaque, pendant que l'autre lui mettait sa main prêt de la bouche avec l'espoir que le souffle reprenne. Puis ils se sont tous regardés, ont baissé la tête et ont emmené Shino.
Nowaki avait compris la vérité. Mais elle la refusait. Elle s'était levée brusquement, en arrachant ses perfusions, et était sortie de sa chambre en courant derrière les médecins, les larmes perlant déjà au coin de ses yeux. Poursuivie par d'autres personnes en blouse blanche à cause de son interdiction de sortir, elle se forçait cependant à suivre le corps de Shino maintenant recouvert d'un linceul blanc. Sa vue se brouillait à cause de ses larmes, et elle ne tarda pas à trébucher et s'écrouler par terre. Elle n'avait plus la force de se relever. Elle avait l'impression que son cœur était tellement serré qu'il allait exploser. Elle se recroquevilla, et hurla à travers le couloir de l'hôpital, se fichant pas mal des personnes qui se retournèrent.
Quelques minutes plus tard, elle était de retour dans sa chambre, mais maintenant, le lit d'à côté était vide. Lorsqu'elle reçut la visite de ses parents ce jour là, elle se contenta de déchaîner sa colère et sa tristesse sur eux, leur disant que Shino... N'était pas censé mourir. C'était injuste.
Elle sorti de l'hôpital deux mois plus tard. Toujours en train de broyer du noir, elle n'était guérie que physiquement. Les parents de Shino lui avaient permis de prendre quelques affaires appartenant à leur défunt fils. Il n'y avait pas grand chose. Un pull, un livre, et un porte clé. Nowaki les as toujours sur elle. Souvent, elle les serre, met sa tête dedans, en pensant à Shino, et l'injustice de ce monde, et aider des gens. Aujourd'hui, elle cherche à intégrer une guilde, pour combattre cette injustice. Mais partout où qu'elle aille, on lui dit que sa santé est trop fragile pour n'importe quelle magie. Malgré l'opposition de ses parents et des médecins, elle en apprit tout de même une, bien qu'elle opta pour une magie relativement inoffensive. Nowaki deviendra une mage reconnue pour sa gentillesse et son altruisme. C'était son but.
| Attaque |
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3/5 | |||
| Défense |
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2/5 | |||
| Vitesse |
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3/5 | |||
| Intelligence |
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4/5 | |||
| Santé |
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0/5 |
Aptitudes et Compétences[]
Citation[]
- "La vie est injuste. Et la mort aussi." Nowaki en pleurant la mort de Shino.
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